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  • Sur le site de l'INA:

     

    Les 10 ans du minitel:

    Puis les 20 ans:

    Et enfin, fin du Minitel le 30 juin 2012 (communiqué AFP)


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  • Quand Pixar s'inspire directement du cinéma pour ses animations:


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  • Interpellée par un élève, je pris le temps de noter précisément des éléments de son attitude langagière. J'étais surprise par sa capacité de raisonnement en mathématiques et son déficit langagier: son vocabulaire pauvre et inapproprié, sa recherche de mots, ses confusions grammaticales grossières.

    Un peu au hasard, sans savoir ce que je cherchais, j'ai entré mes constats dans un moteur de recherche. Quelle ne fût pas ma surprise de trouver des liens qui convergeaient tous vers la dysphasie. Je ne connaissais pas, et j'ai découvert. J'ai laissé le diagnostique aux mains des professionnels. Je crois que si dysphasie il y a elle était légère; mais ce jour-là j'ai compris beaucoup de choses.

    Voici quelques courtes vidéos éloquentes:

    J'ai retrouvé ces vidéos sur le blog de dys é moi zazou, blog de deux enseignantes spécialisées.


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  • Je ne publie plus sur le blog, et dans cette rubrique je n'ai rien posté depuis plus de 18 mois... Il faut un petit coup de coeur pour que j'ai envie de publier ou du moins d'archiver ce lien dans un coin du blog. Le placer ici c'est avoir le plaisir de le retrouver de temps à autre.

    Pourquoi un coup de coeur? Parce que c'est le fiston de 10 ans qui voyant ce clip pour la première fois me dit qu'il faut que je le voie. Et pour me convaincre il m'explique son message. Il a tout compris et ça rassure une maman...

    PS: inutile de chercher à "liker" quoi que ce soit sur la page... je n'ai jamais mis les boutons ;)


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  • Inspirée par une sortie sur le littoral un jour de beau temps, j'ai cherché un beau texte à proposer aux élèves (CM2), et j'ai trouvé celui-ci:  (on en trouve un autre extrait dans "Mon bibliotexte cycle3" édité chez Bordas)

    [Daniel, après avoir fui par ennui, se retrouve à dormir dans une cabane de planches. Au matin, il se dirige vers le haut d'une dune de sable.]

     

    « Elle était là, partout, devant lui, immense, gonflée comme la pente d'une montagne, brillant de sa couleur  bleue, profonde, toute proche, avec ses vagues hautes qui avançaient vers lui. « La mer ! La mer ! » pensait Daniel, mais il n'osa rien dire à voix haute. Il restait sans pouvoir bouger, les doigts un peu écartés, et il n'arrivait pas à réaliser qu'il avait dormi à côté d'elle. Il entendait le bruit lent des vagues qui se mouvaient sur la plage. Il n'y avait plus de vent, tout à coup, et le soleil luisait sur la mer, allumait un feu sur chaque crête de vague. Le sable de la plage était couleur de cendres, lisse, traversé de ruisseaux et couvert de larges flaques qui reflétaient le ciel. Au fond de lui-même, Daniel a répété le beau nom plusieurs fois, comme cela, « La mer, la mer, la mer… » la tête pleine de bruit et de vertige. Il avait envie de parler, de crier même, mais sa gorge ne laissait pas passer sa voix. Alors il fallait qu'il parte en criant, en jetant très loin son sac bleu qui roula dans le sable, il fallait qu'il parte en agitant ses bras et ses jambes comme quelqu'un qui traverse une autoroute. Il bondissait par dessus les bandes de varech (1), il titubait dans le sable sec du haut de la plage. Il ôtait ses chaussures et ses chaussettes, et pieds nus, il courait encore plus vite, sans sentir les épines des chardons. La mer était loin, à l'autre bout de la plaine de sable. Elle brillait dans la lumière, elle changeait de couleur et d'aspect, étendue bleue, puis grise, verte, presque noire, bancs de sable ocre, ourlets blancs des vagues. Daniel ne savait pas qu'elle était si loin. Il continuait à courir, les bras serrés contre son corps, le cœur cognant de toutes ses forces dans sa poitrine. Maintenant il sentait le sable dur comme l'asphalte, humide et froid sous ses pieds. À mesure qu'il approchait, le bruit grandissait, emplissait tout comme un sifflement de vapeur. C'était un bruit très doux et très lent, puis violent et inquiétant comme les trains sur les ponts de fer, ou bien qui fuyait en arrière comme l'eau des fleuves. Mais Daniel n'avait pas peur. Il continuait à courir le plus vite qu'il pouvait, droit dans l'air froid, sans regarder ailleurs. Quand il ne fut plus qu'à quelques mètres de la frange d'écume, il sentit l'odeur des profondeurs et il s'arrêta. Un point de côté brûlait son aine, et l'odeur puissante de l'eau salée l'empêchait de reprendre son souffle. Il s'assit sur le sable mouillé, et il regarda la mer monter devant lui presque jusqu'au centre du ciel. Il avait tellement pensé à cet instant-là, il avait tellement imaginé le jour où il la verrait enfin, réellement, pas comme sur les photos ou comme au cinéma, mais vraiment, la mer toute entière, exposée autour de lui, gonflée avec les gros dos des vagues qui se précipitent et déferlent, les nuages d'écume, les pluies d'embrun (2) en poussière dans la lumière du soleil, et surtout, au loin, cet horizon courbe comme un mur devant le ciel ! Il avait tellement désiré cet instant-là qu'il n'avait plus de forces, comme s'il allait mourir, ou s'endormir. C'était bien la mer, sa mer, pour lui seul maintenant, et il savait qu'il ne pourrait plus jamais s'en aller. »

    J.-M. G. Le Clézio, Celui qui n'avait jamais vu la mer, Gallimard, 1978
     
    (1)Varech : les algues.
    (2)Embrun : gouttelettes formées par les vagues qui se brisent et qu'emporte le vent.

     


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  • Une fiche pour le cahier d'histoire des arts lorsqu'on travaille à partir des oeuvres de Vasarely.

    Il y a plusieurs versions: texte à trou ou pas, photo de l'artiste ou photo d'une oeuvre (en noir et blanc... même si le copieur couleur apparaît de plus en plus dans les écoles).

    Télécharger « Victor Vasarely.pdf »

     


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  • Pour compléter les roues des nombres : http://petitpartage.eklablog.net/roue-des-nombres-cycle-1-a106856662

    Des roues pour les lettres. A vos pinces à linge!

    Télécharger « Roues alphabet.pdf »

     


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  • Pour s'exercer à dénombrer ou pour évaluer le dénombrement, j'ai été séduite par une idée sur Pinterest reprise par Locazil dans son référentiel d'ateliers, mais aussi Fofy pour ses brevets ou encore chez maîtresse alexa.

     

    Voici donc des séries de roues des nombres: 10 par série. Pour placer 6 à 8 élèves avec une roue et leur donner la possibilité de prendre une autre roue une fois la première terminée.

    Il suffit d'encoller, plier, découper et vous obtenez un disque avec les réponses au verso.

    Il faudra un bon stock de pinces à linge aussi.

    Les roues de 1 à 6: 

    Télécharger « Roue 6 portions.pdf »

    Les roues de 3 à 10:

    Télécharger « Roue 8 portions.pdf »

     


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  • CPB

    LA communauté des profs blogueurs n'est pas seulement virtuelle. Une poignée a réalisé ce montage qui me donne la pêche  :)

    Merci!


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